Reeling in Hope: Can Fishery Credit Really Improve Food Expenditure Status for Poor Fish Farming Communities in Rural Bangladesh?

Abstract

The fish farming communities in Bangladesh often find themselves trapped in poverty due to limited resources and low living standards. Many of these communities face financial constraints, struggling to secure credit from formal financial institutions. This compels them to turn to informal lending sources with unfavorable terms and conditions. To address this challenge, Non-Governmental Organizations (NGOs) have taken the initiative to provide credit facilities to these fish farming communities. In this study, we employed the Simple Random Sampling (SRS) technique to select 385 fish farmers from the Khulna district who had received credit support from NGOs. The Propensity Score Matching (PSM) technique was then applied to evaluate the impact of fishery credit on the household food expenditure of the sampled fish farmers. Contrary to existing literature suggesting that access to fisheries credit improves food security, our empirical findings present a different perspective. The Binary Logistic Regression (BLR) study identified two factors influencing the food purchasing capacity of fish farmers: the value of non-land assets and the proximity of NGOs' branch offices to the fish farmers' dwellings. To enhance the food security status of underprivileged fish farming communities, it is recommended to focus on transferring assets and establishing NGO offices in close proximity to villages. These measures can significantly contribute to improving the food expenditure capacity of these communities.

Keywords: credit impact, food expenditure, opinion, Bangladesh

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Un espoir sous le choc : le crédit à la pêche peut-il réellement améliorer la situation des dépenses alimentaires des communautés piscicoles pauvres dans les zones rurales du Bangladesh?

Résumé
Les communautés piscicoles du Bangladesh se retrouvent souvent piégées dans la pauvreté en raison de ressources limitées et d’un faible niveau de vie. Beaucoup de ces communautés sont confrontées à des contraintes financières et peinent à obtenir du crédit auprès des institutions financières formelles. Cela les oblige à se tourner vers des sources de prêt informelles aux conditions défavorables. Pour relever ce défi, des organisations non gouvernementales (ONG) ont pris l'initiative d'offrir des facilités de crédit à ces communautés piscicoles. Dans cette étude, nous avons utilisé la technique d'échantillonnage aléatoire simple (EAS) pour sélectionner 385 pisciculteurs du district de Khulna qui avaient reçu de soutien en crédit d'ONG. La technique d’appariement des coefficients de propension (ACP) a ensuite été appliquée pour évaluer l’impact du crédit à la pêche sur les dépenses alimentaires des ménages des pisciculteurs échantillonnés. Contrairement à la littérature existante suggérant que l’accès au crédit à la pêche améliore la sécurité alimentaire, nos résultats empiriques présentent une perspective différente. L'étude de régression logistique binaire (RLB) a dentifié deux facteurs influençant la capacité d'achat alimentaire des pisciculteurs : la valeur des actifs non fonciers et la proximité des succursales des ONG par rapport aux habitations des pisciculteurs. Pour améliorer la sécurité alimentaire des communautés piscicoles défavorisées, il est recommandé de se concentrer sur le transfert d’actifs et d’établir des bureaux d’ONG à proximité des villages. Ces mesures peuvent contribuer de manière significative à améliorer la capacité de dépenses alimentaires de ces communautés.

Mots-clés : Impact du crédit, dépense alimentaire, opinion, Bangladesh