https://journals.brandonu.ca/jrcd/issue/feed Journal of Rural and Community Development 2024-09-18T11:46:35-05:00 Dr. Doug Ramsey jrcd@brandonu.ca Open Journal Systems <p>The <em>Journal of Rural and Community Development</em> is pleased to publish the third issue for 2024 (Volume 19, Issue 3). </p> <p>The JRCD is an open access, peer-reviewed journal that publishes development research on and in rural and small town areas around the world. We do not charge authors for publication in the JRCD.</p> <p>The JRCD gratefully acknowledges funding from the Social Sciences and Humanities Research Council of Canada (SSHRC) through their 'Aid to Scholarly Publications' programme. We secured renewed SSHRC funding for 2022-2025.</p> <p>We respect the treaties that were made on these lands and acknowledge that Brandon University is located on Treaty 2 Lands. On behalf of Brandon University, I welcome you to the traditional homelands of the Dakota, Anishanabek, Oji-Cree, Cree, Dene and Metis peoples.</p> <p>------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ </p> <p>Le <em>Journal de Rural and Community Development</em> est heureux de publier le troisième pour l'année 2024 (Volume 19, Numéro 3). </p> <p>Le journal JRCD est un journal en libre accès, revu par des comités de lecture et qui publie la recherche de développement sur et des zones rurales ainsi que des petites villes partout dans le monde. </p> <p>Le JRCD tient à remercier le Conseil de Recherches en Sciences Humaines (CRSH) du Canada grâce à leur programme d''Aide aux Revues Savantes'. Nous avons garanti le renouvellement des fonds du CRSH pour 2022-2025.</p> <p>Nous respectons les traités qui ont été conclus sur ces terres et reconnaissons que l'Université de Brandon est située sur les terres du Traité n° 2. Au nom de l'Université de Brandon, je vous souhaite la bienvenue sur les terres traditionnelles des peuples Dakota, Anishanabek, Oji-Cree, Cree, Dene et Metis.</p> https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2370 Unheard and Overlooked: The Impact of Cannabis Legalization Policies on Kootenay Communities 2023-10-06T09:24:18-05:00 Tracey Harvey tharvey@selkirk.ca <p>For rural regions of British Columbia (BC) with a legacy of cannabis production, legalization brings insights into the dynamics of these rural communities, shedding light on the extent to which local residents are actively engaged in shaping their futures. Drawing on 56 interviews with government representatives and legacy cannabis participants from BC’s Kootenay region, a qualitative thematic analysis based on the underpinnings of transitioning economies and stakeholder participation highlights the necessity of building trust for successful legalization in the Kootenays. Three main issues, rooted in prohibition and centred around distrust, emerge as findings. First, federal government participants exhibited skepticism towards cannabis participants, which affected cannabis participants’ input during policy formulation due to a perceived criminal past and ties to organized crime. Second, cannabis participants largely reciprocated this distrust towards the federal government, understanding their believed past criminality led to exclusion from policymaking, and voicing their suspicion of government motives that favoured government participation, corporate interests, and taxation. Third, local government representatives expressed sentiments of exclusion from federal decision-making and dissatisfaction with Health Canada's management of personal medical license complaints during prohibition, revealing inter-government distrust.</p> <p><br />Keywords: cannabis legalization, political economy, rural economy, transitioning economies, policy stakeholders, collaborative participation, distrust</p> <p>________________________</p> <p><strong>Inouï et négligé : l’impact des politiques de légalisation du cannabis sur les communautés de Kootenay</strong></p> <p><strong>Résumé<br /></strong>Pour les régions rurales de la Colombie-Britannique (C.-B.) ayant un héritage de production de cannabis, la légalisation apporte un aperçu de la dynamique de ces communautés rurales, mettant en lumière la mesure dans laquelle les résidents locaux participent activement à façonner leur avenir. S'appuyant sur 56 entretiens avec des représentants gouvernementaux et des participants à l’héritage du cannabis de la région de Kootenay en Colombie-Britannique, une analyse thématique qualitative basée sur les fondements des économies en transition et la participation des parties prenantes souligne la nécessité d'instaurer la confiance pour une légalisation réussie dans les Kootenays. Trois problèmes principaux, enracinés dans la prohibition et centrés sur la méfiance, émergent comme conclusions. Premièrement, les participants du gouvernement fédéral ont fait preuve de scepticisme à l’égard des participants au cannabis, ce qui a affecté leur contribution lors de la formulation des politiques en raison d’un passé criminel perçu et de leurs liens avec le crime organisé. Deuxièmement, les participants au cannabis ont largement rendu la pareille à cette méfiance à l'égard du gouvernement fédéral, comprenant que leur criminalité passée les conduisait à l'exclusion de l'élaboration des politiques et exprimant leurs soupçons quant aux motivations gouvernementales qui favorisaient la participation gouvernementale, les intérêts des entreprises et la fiscalité. Troisièmement, les représentants des gouvernements locaux ont exprimé leur sentiment d'exclusion du processus décisionnel fédéral et leur insatisfaction à l'égard de la gestion par Santé Canada des plaintes relatives aux licences médicales personnelles pendant l'interdiction, révélant la méfiance intergouvernementale.</p> <p>Mots-clés : légalisation du cannabis, économie politique, économie rurale, économies en transition, acteurs politiques, participation collaborative, méfiance</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Tracey Harvey https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2422 Analysing the Effectiveness Of Public Meetings for Rural Food Security Communication 2023-11-17T12:13:16-06:00 Hagos Nigussie hagos.nigussie@mu.edu.et <p>This paper examines the effectiveness of public meetings for food security communication, that is, communication about the government’s rural food security enhancement programs and people’s participation in the Irob and Gulomekeda districts of eastern Tigray, Ethiopia. Ethnography was used as the research design, involving semi-structured interviews, focus group discussions, participant observation, and document reviews. The results revealed that development experts and government representatives dominate public meetings and that the deep-rooted socio-economic problems of rural people are not adequately discussed. Although public meetings are conceived as venues to help people collectively discuss their priority concerns and identify solutions, they are criticized for not embracing people’s input in decision-making processes. Although representation is necessary for public meetings, rural food security-related programs in the Irob and Gulomekeda districts do not necessarily embrace public representation. Overall, people in both districts played a nominal role in decision-making domains. This study contributes to our understanding of the effectiveness and limitations of public meetings as a communication approach in rural development in areas with limited access to technology.</p> <p><br />Keywords: public meetings, communication, participation, food security, rural people, Tigray</p> <p>__________________________ </p> <p><strong>Analyser l'efficacité des réunions publiques </strong><strong>pour la communication </strong><strong>sur la sécurité alimentaire rurale</strong></p> <p>Résumé<br />Cet article examine l’efficacité des réunions publiques pour la communication sur la sécurité alimentaire, c’est-à-dire la communication sur les programmes gouvernementaux d’amélioration de la sécurité alimentaire rurale et la participation de la population dans les districts d’Irob et de Gulomakeda, dans l’est du Tigré, en Éthiopie. L'ethnographie a été utilisée comme modèle de recherche, impliquant des entretiens semi-structurés, des discussions de groupe, l'observation participante et l'examen de documents. Les résultats ont révélé que les experts en développement et les représentants du gouvernement dominent les réunions publiques et que les problèmes socio-économiques profondément enracinés des populations rurales ne sont pas suffisamment débattus. Bien que les réunions publiques soient conçues comme des lieux permettant aux gens de discuter collectivement de leurs préoccupations prioritaires et d’identifier des solutions, elles sont critiquées pour ne pas prendre en compte la contribution des citoyens aux processus décisionnels. Bien que la représentation soit nécessaire pour les réunions publiques, les programmes ruraux liés à la sécurité alimentaire dans les districts d'Irob et de Gulomakeda n'incluent pas nécessairement la représentation du public. Dans l’ensemble, les habitants des deux districts ont joué un rôle minime dans les domaines décisionnels. Cette étude contribue à notre compréhension de l'efficacité et des limites des réunions publiques en tant qu'approche de communication dans le développement rural des zones ayant un accès limité à la technologie.</p> <p><br />Mots clés : réunions publiques, communication, participation, sécurité alimentaire, populations rurales, Tigré</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Hagos Nigussie https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2522 Diversified Farms as Models of Circular Agrifood: A Case Study 2024-04-15T10:14:00-05:00 Victoria Soldevila mariavictoria.soldevila@urv.cat Lourdes Viladomiu lourdes.viladomiu@uab.cat Jordi Rosell jordi.rosell@uab.cat Karen Hoberg karen.hoberg@gmail.com <p>Circular economy (CE) has gained prominence in academic research in recent years. Case studies in circular economy have proven to be a useful way to learn about the main barriers and facilitators to implementing circular economy practices. Nevertheless, most of them are based on the manufacturing and energy sectors and technological solutions that are needed to achieve circularity. However, our paper presents the concept of circular economy applied to a diversified farm model. The aim is to discuss to what extent this model meets the circularity criteria that are promoted by the institutions, as well as the factors that favour and slow down the implementation of circularity in this type of farm. The case study analyzed is a family farm which has been making an innovative proposal for diversification in different links of the agri-food chain to "closing circles."</p> <p>Keywords: circular agri-food, family farming, diversified farms, “masia”, case study</p> <p>_____________________________________ </p> <p><strong>Les fermes diversifiées comme modèles d’agroalimentaire circulaire : une étude de cas</strong></p> <p>Résumé<br />L’économie circulaire (EC) a pris de l’importance dans la recherche universitaire ces dernières années. Les études de cas sur l’économie circulaire se sont révélées être un moyen utile de connaître les principaux obstacles et facilitateurs à la mise en oeuvre de pratiques d’économie circulaire. Néanmoins, la plupart d’entre eux s’appuient sur les secteurs manufacturier et énergétique et sur les solutions technologiques nécessaires pour parvenir à la circularité. Cependant, notre article présente le concept d’économie circulaire appliqué à un modèle agricole diversifié. L'objectif est de discuter dans quelle mesure ce modèle répond aux critères de circularité promus par les institutions, ainsi que les facteurs qui favorisent et ralentissent la mise en oeuvre de la circularité dans ce type d'exploitation agricole. L'étude de cas analysée est une exploitation agricole familiale qui a fait une proposition innovante de diversification dans différents maillons de la chaîne agroalimentaire pour « fermer les cercles ».</p> <p><br />Mots clés : agroalimentaire circulaire, agriculture familiale, exploitations diversifiées, « masia », étude de cas</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Victoria Soldevila, Lourdes Viladomiu, Jordi Rosell, Karen Hoberg https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2437 Challenges of Community-based Ecotourism Development in Sukau, Lower Kinabatangan, Malaysian Borneo 2024-02-26T09:35:28-06:00 Velan Kunjuraman velan1199@gmail.com <p>The Southeast Asia region is popular for community-based ecotourism schemes as an alternative means of livelihood for local communities. The challenges faced by the local communities in performing community-based ecotourism projects remain active, with few empirical investigations being carried out. Adopting an interpretive research paradigm, this qualitative study based on sociological perspective was carried out between 2017 and 2019 to explore both internal and external challenges faced by the local community in ecotourism operations in Sukau village, a forerunner of ecotourism destinations in Sabah, Malaysian Borneo. The study revealed that the ecotourism project participants faced numerous challenges in their ecotourism projects, and these challenges posed barriers to achieving successful ecotourism developments. The challenges identified in this study may disrupt ecotourism's potential to deliver perceived benefits to the locals, thus weakening its sustainability. Therefore, this study recommends that the relevant stakeholders, especially the state tourism department, participate in ecotourism development, as it is vital to solving the challenges faced by the local community. By doing so, the sustainability of community-based ecotourism ventures in rural areas can be maintained, potentially making it a sustainable livelihood activity.</p> <p>Keywords: community-based ecotourism, participation, challenges, community, sociology</p> <p>___________________________________________ </p> <p><strong>Défis du développement de l'écotourisme communautaire à Sukau, Lower Kinabatangan, Bornéo malaisien</strong></p> <p>Résumé<br />La région de l’Asie du Sud-Est est populaire pour les programmes d’écotourisme communautaire comme moyen de subsistance alternatif pour les communautés locales. Les défis auxquels sont confrontées les communautés locales dans la réalisation de projets d'écotourisme communautaire demeurent omniprésents, avec peu d'enquêtes empiriques réalisées. Adoptant un paradigme de recherche interprétative, cette étude qualitative basée sur une perspective sociologique a été réalisée entre 2017 et 2019 pour explorer les défis internes et externes auxquels est confrontée la communauté locale dans les opérations d'écotourisme dans le village de Sukau, précurseur des destinations écotouristiques à Sabah, en Malaisie, à Bornéo. L'étude a révélé que les participants aux projets d'écotourisme étaient confrontés à de nombreux défis dans leurs projets d'écotourisme, et ces défis constituaient des obstacles à la réussite du développement de l'écotourisme. Les défis identifiés dans cette étude pourraient perturber le potentiel de l'écotourisme à apporter des avantages perçus aux populations locales, affaiblissant ainsi sa durabilité. Par conséquent, cette étude recommande que les parties prenantes concernées, en particulier le département national du tourisme, participent au développement de l'écotourisme, car cela est essentiel pour résoudre les défis auxquels est confrontée la communauté locale. Ce faisant, la durabilité des projets d’écotourisme communautaire dans les zones rurales peut être maintenue, ce qui en fait potentiellement une activité de subsistance durable.</p> <p>Mots-clés : écotourisme communautaire, participation, défis, communauté, sociologie</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Velan Kunjuraman https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2392 Economic Situations, Expansion-crisis, and the Effect Of Rural Development policies: The Case of Castilla-La Mancha, Spain 2023-11-14T16:26:34-06:00 Francisco Martínez-Arroyo fmarroyo@jccm.es María Carmen García-Cortijo mariacarmen.gcortijo@uclm.es Hugo Sacristán López hsacristan@jccm.es Juan Sebastián Castillo Valero sebastian.castillo@uclm.es <p>In 1991, over thirty years ago, the European Commission’s [EC] LEADER initiative was set up to revitalize the rural environment using its endogenous potential. Although it is now fully consolidated as a public action and despite of the great interest it has aroused, not much research has considered the role played by the LEADER Programme in times of crisis. This article aims to study the performance of the LEADER Programme in crisis periods and compare it to a time of expansion in an eminently rural area, Castilla-La Manch, Spain. For this purpose, we considered a general model and two sub-models, with a sample of 2,403 projects that generated employment during the 2007–2013 and 2014–2022 programming periods. The results show that LEADER was more effective in times of crisis than in times of expansion. During the latter, the public sector played an important role.</p> <p>Keywords: LEADER, 2014–2022 programming period, 2007–2013 programming period, Local Action Groups, rural areas</p> <p>__________________________________ </p> <p><strong>Situations économiques, expansion-crise et effets des politiques de développement rural: Le cas de Castilla-La Mancha (Espagne)</strong></p> <p>Résumé<br />C'est en 1991, il y a plus de trente ans, que l'initiative communautaire LEADER a été mise en place dans le but de revitaliser le milieu rural en utilisant son potentiel endogène. Bien qu'elle soit aujourd'hui pleinement consolidée en tant qu'action publique et malgré le grand intérêt qu'elle a suscité, peu de recherches se sont penchées sur le rôle joué par le programme LEADER en temps de crise. L'objectif de cet article est d'étudier les performances du programme LEADER en période de crise et de les comparer à une période d'expansion dans une région éminemment rurale, la Castille-La Manche (Espagne). Pour ce faire, nous considérons un modèle général et deux sous-modèles, avec un échantillon de 2 403 projets ayant généré des emplois au cours des périodes de programmation 2007-2013 et 2014-2022. Les résultats montrent que LEADER a été plus efficace en période de crise qu'en période d'expansion. Durant ces dernières, le secteur public a joué un rôle important.</p> <p>Mots-clés : LEADER, période de programmation 2014-2022, période de programmation 2007-2013, groupes d'action locale, zones rurales</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Francisco Martínez Arroyo, María Carmen García-Cortijo, Hugo Sacristán López, Juan Sebastián Castillo Valero https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2359 Oloibiri: Lessons from the Lifecycle of a Single-Industry Town in Nigeria 2024-05-18T12:27:49-05:00 Temitope Ojo ojotemitope1004@gmail.com Michel Beaulieu michel.beaulieu@lakeheadu.ca <p>This study examines the socio-economic aftermath of the oil industry's closure in the town of Oloibiri to derive key lessons for similar towns. Central to the research is the question: What lessons can be learned from Oloibiri's experience with resource development and economic transformation? The methodology combines primary and secondary data, including historical contextualization and interviews, to explore the town's transition after the oil industry's exit. The findings reveal economic and social impacts, including job loss, environmental degradation, and forced migration. These challenges have led to a decline in population and living standards, and the disruption of traditional occupations and small businesses. The study uncovers an interplay of factors, including government policies, mismanagement, and global market shifts, contributing to Oloibiri's current state of condition and poverty. The town's struggles with lack of adequate infrastructure, pollution, and limited employment opportunities highlight the immediate need for systemic change. By documenting Oloibiri's journey, the research underscores key lessons for managing the socio-economic transitions of single-industry towns, emphasizing the importance of diversification and sustainable development. Further research is encouraged on peripheral resource-based communities in Nigeria to inform strategies for their resilience and growth.</p> <p>Keywords: Oloibiri, resource-based community, economic transition, environmental degradation, socio-economic impact, sustainable development</p> <p>___________________________________________ </p> <p><strong>Oloibiri : leçons du cycle de vie d'une ville mono-industrielle au Nigeria</strong></p> <p>Résumé<br />Cette étude examine les conséquences socio-économiques de la fermeture de l'industrie pétrolière dans la ville d'Oloibiri afin d'en tirer des leçons clés pour des villes similaires. La question centrale de la recherche est la suivante : quelles leçons peut-on tirer de l'expérience d'Oloibiri en matière de développement des ressources et de transformation économique? La méthodologie combine des données primaires et secondaires, y compris une contextualisation historique et des entretiens, pour explorer la transition de la ville après que l'industrie pétrolière a cessé ses actvités. Les résultats révèlent des impacts économiques et sociaux, notamment la perte d'emplois, la dégradation de l'environnement et la migration forcée. Ces défis ont entraîné une baisse de la population et du niveau de vie, ainsi que la perturbation des métiers traditionnels et des petites entreprises. L'étude révèle une interaction de facteurs, notamment les politiques gouvernementales, la mauvaise gestion et les changements du marché mondial, qui contribuent à l'état actuel de condition et de pauvreté d'Oloibiri. Les difficultés de la ville face au manque d'infrastructures adéquates, à la pollution et aux opportunités d'emploi limitées mettent en évidence la nécessité immédiate d'un changement systémique. En documentant le parcours d'Oloibiri, la recherche souligne les enseignements clés pour la gestion des transitions socio-économiques des villes mono-industrielles, en soulignant l'importance de la diversification et du développement durable. Des recherches plus approfondies sont encouragées sur les communautés périphériques basées sur les ressources au Nigeria afin d'éclairer les stratégies visant leur résilience et leur croissance.</p> <p>Mots-clés : Oloibiri, communauté basée sur les ressources, transition économique, dégradation de l'environnement, impact socio-économique, développement durable</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Temitope Ojo, Michel Beaulieu https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2476 Securing Rural Grocery Stores - Communities Matter 2024-01-02T09:43:07-06:00 Lise Byskov Herslund lihe@ign.ku.dk Hanne Tanvig hwt@ign.ku.dk <p>This article explores the phenomenon of communities becoming involved in sustaining rural grocery stores in Denmark, and it identifies three kinds of community stores. The paper is mainly based on case studies of eighteen villages where local communities have been involved in saving their local stores. In all cases, the community collected funds to purchase and renovate the store’s premises. Two kinds of stores (A and B) largely resemble the original rural store in terms of products and appearance. For category A stores, the community rents out the renovated store cheaply to a private shopkeeper. In contrast, for category B stores, low rent is not enough to attract storekeepers, and the community has had to take on the store’s management itself. In both cases, stores have engaged with a supermarket chain. A third category (C) consists of an independent store where community members have taken on all activities themselves voluntarily. The type of store reflects the size of the village, its customer base, and also, very importantly, the capacity of the local community. In larger villages, “only financial capital” is needed (for buildings of A stores), whereas in smaller villages, the community has to manage the store (type B and C), which demands more effort and capacity. Thus, closures of rural grocery stores can only be prevented by capable and engaged communities.</p> <p>Keywords: saving rural grocery stores, community involvement, local capacities, community stores</p> <p>_____________________________________ </p> <p><strong>Sécuriser les épiceries rurales : les communautés comptent</strong></p> <p>Résumé<br />Cet article explore le phénomène de l'implication des communautés dans le maintien des épiceries rurales au Danemark et identifie trois types de magasins communautaires. Le document s'appuie principalement sur des études de cas de dix-huit villages où les communautés locales ont participé au sauvetage de leurs magasins locaux. Dans tous les cas, la communauté a collecté des fonds pour acheter et rénover les locaux du magasin. Deux types de magasins (A et B) ressemblent largement au magasin rural d'origine en termes de produits et d'apparence. Pour les magasins de catégorie A, la collectivité loue à moindre coût le magasin rénové à un commerçant privé. En revanche, pour les magasins de catégorie B, les loyers modiques ne suffisent pas à attirer les commerçants, et la communauté a dû assumer elle-même la gestion du magasin. Dans les deux cas, les magasins ont collaboré avec une chaîne de supermarchés. Une troisième catégorie (C) consiste en un magasin indépendant où les membres de la communauté ont assumé eux-mêmes toutes les activités volontairement. Le type de magasin reflète la taille du village, sa clientèle et aussi, ce qui est très important, la capacité de la communauté locale. Dans les villages plus grands, « seul un capital financier » est nécessaire (pour les bâtiments des magasins A), tandis que dans les villages plus petits, la communauté doit gérer le magasin (types B et C), ce qui demande plus d'efforts et de capacités. Ainsi, les fermetures d’épiceries rurales ne peuvent être évitées que par des communautés compétentes et engagées.</p> <p>Mots-clés : sauver les épiceries rurales, implication communautaire, capacités locales, magasins communautaires</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Lise Byskov Herslund, Hanne Tanvig https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2477 “My body is in Canada, but my Heart Remains in Mexico”: Mexican Seasonal Farm Workers’ Perspectives on Well-Being 2024-02-02T11:20:09-06:00 Maricruz Barba Gonzalez barbagon@ualberta.ca Mary Beckie mbeckie@ualberta.ca <p>Reliance on foreign agricultural labourers is rapidly increasing in Canada. The Seasonal Agricultural Workers Program (SAWP) is the major federal program coordinating these placements, and Mexico, which runs the matching Programa de Trabajadores Agrícolas Temporales (PTAT), is the leading partner country, currently accounting for 43.8% of migrant farm workers in Canada. With the growing reliance on migrant workers, there are increasing concerns about their living and working conditions and calls for program and policy changes to better serve their needs and rights. According to Loo (2014), listening to and understanding workers' perspectives is critical to creating effective reforms. Our research aligns with this perspective. Through a focused ethnography approach, we engaged with nine Mexican seasonal farm workers who have the experience of participating in the PTAT in the Province of Alberta, where there have been few such participatory studies conducted. Using a food justice theoretical lens, qualitative data were gathered through PhotoVoice and semi-structured interviews to explore the factors influencing the health and well-being of nine Mexican farm labourers who are or have worked in Alberta through the PTAT. Participants also provided insights into what it meant to work and live as migrant labourers during the COVID-19 pandemic. Life as divididos, a word in Spanish that means divided, captures their sentiments about life as foreign temporary workers. This research gives voice to these individuals’ experiences and needs and, as such, provides insights into ways to improve their living and working conditions.</p> <p>Keywords: Mexican seasonal agriculture workers, health and well-being, food justice, Alberta, Canada</p> <p>____________________________________ </p> <p><strong>« Mon corps est au Canada, mais mon coeur reste au Mexique » : le point de vue des travailleurs agricoles saisonniers mexicains sur le bien-être</strong></p> <p>Résumé<br />Le recours aux travailleurs agricoles étrangers augmente rapidement au Canada. Le Programme des travailleurs agricoles saisonniers (PTAS) est le principal programme fédéral qui coordonne ces placements et le Mexique, qui gère le Programa de Trabajadores Agrícolas Temporales (PTAT) de jumelage, est le principal pays partenaire, représentant actuellement 43,8 % des travailleurs agricoles migrants au Canada. Avec le recours croissant aux travailleurs migrants, les inquiétudes concernant leurs conditions de vie et de travail augmentent et des appels à des changements de programmes et de politiques pour mieux répondre à leurs besoins et à leurs droits se font de plus en plus pressants. Selon Loo (2014), écouter et comprendre les points de vue des travailleurs sont essentiels pour créer des réformes efficaces. Notre recherche s'inscrit dans cette perspective. Grâce à une approche ethnographique ciblée, nous avons engagé un dialogue avec neuf travailleurs agricoles saisonniers mexicains qui ont l'expérience de participer au PTAT dans la province de l'Alberta, où peu d'études participatives de ce type ont été menées. En utilisant une perspective théorique sur la justice alimentaire, des données qualitatives ont été recueillies par PhotoVoice et par des entretiens semi-structurés pour explorer les facteurs influençant la santé et le bien-être de neuf ouvriers agricoles mexicains qui travaillent ou ont travaillé en Alberta par l’intermédiaire du PTAT. Les participants ont également donné un aperçu de ce que signifiait travailler et vivre en tant que travailleurs migrants pendant la pandémie de COVID-19. La vie en tant que divididos, un mot espagnol qui signifie divisé, capture leurs sentiments sur la vie en tant que travailleurs temporaires étrangers. Cette recherche donne une voix aux expériences et aux besoins de ces personnes et, ainsi, fournit des indications sur les moyens d’améliorer leurs conditions de vie et de travail.</p> <p>Mots-clés : travailleurs agricoles saisonniers mexicains, santé et bien-être, justice alimentaire, Alberta, Canada</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Maricruz Barba, Mary Beckie https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2438 The Rural Space Renaissance In Relation to Urban Space: Some Suggestions from Italy 2024-08-02T11:39:17-05:00 Paola de Salvo paola.desalvo@unipg.it Marco Pizzi marco.pizzi@unipg.it <p>This paper deals with the growing feeling of greater attention towards rural spaces with a focus on Italy. We discuss how the COVID-19 pandemic has changed perspectives on inland areas, highlighting their environmental and safety advantages over cities. Examples of regenerative experiences in small Italian towns are shown through two case examples, such as the "1€ Houses" (or “Houses for 1 €”, “H1€”) project and a significative village regeneration initiative carried out by two private actors in the centre of Italy. The evolution of rural areas from agricultural spaces to tourist destinations is also explored, highlighting the potential for economic and social development. At the same time, idealized narratives of rural life are criticized, and the need for a more nuanced understanding of rural areas beyond aesthetics and tourism is highlighted. Overall, the article makes a call for the empowerment of rural communities, underlining the importance of building new social ties, economies and local communities that respect territorial diversity. In conclusion, some suggestions about policies to be implemented and the role of institutions towards local revitalization projects are provided.</p> <p>Keywords: development, inland areas, depopulation, regeneration, community</p> <p>_________________________________ </p> <p><strong>La renaissance de l'espace rural en relation avec l'espace urbain : quelques suggestions d'Italie</strong></p> <p>Résumé<br />Cet article traite du sentiment croissant d'une plus grande attention portée aux espaces ruraux en mettant l'accent sur l'Italie. Nous discutons de la manière dont la pandémie de COVID-19 a changé les perspectives à l’intérieur des terres, en soulignant les avantages environnementaux et de sécurité par rapport aux villes. Des exemples d'expériences régénératrices dans les petites villes italiennes sont présentés à travers deux exemples de cas, tels que le projet « Maisons à 1 € » et une initiative significative de régénération de village menée par deux acteurs privés dans le centre de l'Italie. L'évolution des zones rurales d'espaces agricoles à destinations touristiques est également explorée, soulignant le potentiel de développement économique et social. En même temps, les récits idéalisés de la vie rurale sont critiqués et la nécessité d'une compréhension plus nuancée des zones rurales au-delà de l'esthétique et du tourisme est soulignée. Dans l'ensemble, l'article lance un appel à l'autonomisation des communautés rurales, soulignant l'importance de construire de nouveaux liens sociaux, de nouvelles économies et de nouvelles communautés locales qui respectent la diversité territoriale. En conclusion, quelques suggestions sur les politiques à mettre en oeuvre et le rôle des institutions dans les projets de revitalisation locale sont fournies.</p> <p>Mots clés : développement, terres intérieures, dépeuplement, régénération, communauté</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Paola de Salvo, Marco Pizzi https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2371 Climate Change, Food Security and Agricultural Extension in Yemen 2024-01-22T16:30:56-06:00 Ali H. Khalil alikhalil2@gmail.com Shirley Thompson s.thompson@umanitoba.ca <p>Climate change is challenging the agricultural sector globally and has undermined food security in some countries. Yemen is suffering catastrophic food insecurity attributed to climate change and war. To reduce this food insecurity, agriculture extension workers must facilitate climate-smart agriculture. Of 52 agricultural extension workers who took a climate-smart survey, most (97%) extension workers had observed climatic shifts, including rising temperatures and droughts, with 81% finding climate change a major threat to agriculture. A high percentage of (77%) agricultural extension workers surveyed reported never attending training workshops on climate change issues, receiving their information from different media, including agriculture research centers (72%), subject matter specialists (67%), and social media (60%). Major barriers to climate-smart extension programs that support sustainable food production for food security in Yemen include a lack of training of programs for extension workers concerning climate change issues, low competence regarding climate change adaptation issues, insufficient number of extension workers to serve farmers, and lack of coordination between extension services and agricultural research centers. Adaptation extension work was undertaken at a moderate level by 61% of respondents, with over half (67%) complaining about having few resources for climate change adaptation programming (67%). Further programming and resources are needed for agricultural extension workers to help farmers combat climate change, food security and malnutrition in Yemen.</p> <p>Keywords: agriculture extension, climate change, food security, Yemen, climate-smart agriculture, adaptation</p> <p>_________________________________________ </p> <p><strong>Changement climatique, sécurité alimentaire et vulgarisation agricole au Yémen</strong></p> <p>Résumé<br />Le changement climatique met à rude épreuve le secteur agricole à l’échelle mondiale, mais pour certains pays, il a des effets dévastateurs sur leur sécurité alimentaire. Le Yémen souffre d’une insécurité alimentaire catastrophique attribuée au changement climatique et à la guerre. Pour réduire cette insécurité alimentaire, les vulgarisateurs agricoles doivent faciliter une agriculture intelligente face au climat. Sur les 52 vulgarisateurs agricoles qui ont répondu à une enquête intelligente sur le climat, la plupart (97 %) des agents de vulgarisation agricole avaient observé des changements climatiques, notamment une hausse des températures et des sécheresses, et 81 % d’entre eux estimaient que le changement climatique constituait une menace majeure pour l’agriculture. Un pourcentage élevé (77 %) des vulgarisateurs agricoles interrogés ont déclaré n'avoir jamais assisté à des ateliers de formation sur les questions de changement climatique, mais avoir reçu leurs informations de différents médias, notamment des centres de recherche agricole (72 %), des spécialistes en la matière (67 %) et des médias sociaux (60 %). Les principaux obstacles aux programmes intelligents de vulgarisation face au climat qui soutiennent la production alimentaire durable pour la sécurité alimentaire au Yémen comprennent le manque de programmes de formation des agents de vulgarisation sur les questions de changement climatique, la faible compétence en matière d'adaptation au changement climatique, le nombre insuffisant d'agents de vulgarisation pour servir les agriculteurs, et le manque de coordination entre les services de vulgarisation et les centres de recherche agricole. Les travaux de vulgarisation en matière d'adaptation ont été entrepris à un niveau modéré par 61 % des personnes interrogées, dont plus de la moitié (67 %) se plaignent du manque de ressources pour les programmes d'adaptation au changement climatique (67 %). Des programmes et des ressources supplémentaires sont nécessaires pour que les agents de vulgarisation agricole puissent aider les agriculteurs à lutter contre le changement climatique, la sécurité alimentaire et la malnutrition au Yémen.</p> <p>Mots-clés : vulgarisation agricole, changement climatique, sécurité alimentaire, Yémen, agriculture intelligente face au climat, adaptation</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Ali Hasan Obaid Khalil, Shirley Thompson https://journals.brandonu.ca/jrcd/article/view/2330 Am I Welcome in This Space? A Case Study on Cultural Ecosystem Services Provided by Rural Greenspace And their Implications for Social Cohesion & Equity in Nova Scotia 2023-04-19T15:13:26-05:00 Sarah Lavall´ee sarah.lavallee@acadiau.ca Alan Warner alan.warner@acadiau.ca <p>This case study of Wolfville, Nova Scotia, used narrative inquiry to (a) examine the role of cultural ecosystem services (CES) from rural greenspace interaction on the health, wellbeing, and social inclusion of underrepresented populations; (b) identify specific factors that may contribute to CES in rural greenspace; and (c) explore the differences in rural greenspace experiences between the four population groups in this rural, small-town, Canadian context. Although originally part of a larger study on community resilience, this article focuses on the social and equity-related findings that are lacking in the greenspace planning literature and are applicable to other rural Canadian towns. Four participant groups from underrepresented populations in Wolfville (youth, university students, individuals with disabilities, and seniors) participated in a series of focus groups and participant-generated photography and audio-narrative methods. These methods were chosen to increase engagement from groups that are often under-consulted in community planning and decision-making. The findings suggest that although greenspace has important implications for increasing social cohesion, equity, and health and wellbeing in Wolfville and other rural Canadian municipalities, the benefits of CES are not equitably distributed across population groups. Participant interactions in local greenspace varied depending on age and ability, largely due to societal attitudes that impacted whether residents felt welcome or able to access greenspace. Three specific factors were identified which may contribute to CES in rural greenspace: an implicit code of conduct that facilitates positive social encounters, the inclusion of diverse cultural beliefs and worldviews in greenspace infrastructure and available activities, and increasing opportunities for community co-design of local greenspace. Recommendations are provided for rural communities to improve the equitable distribution of CES provided by local greenspace.</p> <p>Keywords: greenspace, cultural ecosystem services, place-attachment, social cohesion, rural, equity, accessibility</p> <p>_______________________________ </p> <p><strong>Suis-je le-la bienvenu-e dans cet espace ? Une étude de cas sur les services écosystémiques culturels fournis par les espaces verts ruraux et leurs implications pour la cohésion sociale et l'équité en Nouvelle-Écosse</strong></p> <p>Résumé<br />Cette étude de cas de Wolfville, en Nouvelle-Écosse, a utilisé une enquête narrative pour (a) examiner le rôle des services écosystémiques culturels (SEC) issus de l'interaction des espaces verts ruraux sur la santé, le bien-être et l'inclusion sociale des populations sous-représentées ; (b) identifier les facteurs spécifiques qui peuvent contribuer au SEC dans les espaces verts ruraux ; et (c) explorer les différences dans les expériences d'espaces verts ruraux entre les quatre groupes de population dans ce contexte rural et de petite ville canadienne. Bien qu’il fasse initialement partie d’une étude plus vaste sur la résilience des communautés, cet article se concentre sur les conclusions sociales et liées à l’équité qui font défaut dans la littérature sur la planification des espaces verts et qui sont applicables à d’autres villes rurales canadiennes. Quatre groupes de participants issus de populations sous-représentées de Wolfville (jeunes, étudiants universitaires, personnes handicapées et personnes âgées) ont participé à une série de groupes de discussions et à des méthodes de photographie générées par les participants et de narration audio. Ces méthodes ont été choisies pour accroître l'engagement des groupes qui sont souvent sous-consultés dans la planification et la prise de décision communautaires. Les résultats suggèrent que même si les espaces verts ont des implications importantes pour accroître la cohésion sociale, l’équité, la santé et le bien-être à Wolfville et dans d’autres municipalités rurales canadiennes, les avantages du SEC ne sont pas équitablement répartis entre les groupes de population. Les interactions des participants dans les espaces verts locaux variaient en fonction de l'âge et des capacités, en grande partie en raison des attitudes sociétales qui influaient sur le fait que les résidents se sentaient les bienvenus ou capables d'accéder aux espaces verts. Trois facteurs spécifiques ont été identifiés qui peuvent contribuer au SEC dans les espaces verts ruraux : un code de conduite implicite qui facilite les rencontres sociales positives, l'inclusion de diverses croyances culturelles et visions du monde dans les infrastructures des espaces verts et les activités disponibles, et des opportunités accrues de cocréation communautaire des espaces verts locaux. Des recommandations sont fournies aux communautés rurales pour améliorer la répartition équitable des SEC fournis par les espaces verts locaux.</p> <p>Mots-clés : espaces verts, services écosystémiques culturels, attachement au lieu, cohésion sociale, rural, équité, accessibilité</p> 2024-09-18T00:00:00-05:00 Copyright (c) 2024 Sarah Lavall´ee, Dr. Alan Warner